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Paroles de mes chansons
BRUME DU MATIN
(En regardant par la fenêtre de mon bureau)
La langue de brume s'allonge, s'allonge,
La langue de brume avance sans fin,
La brume douce approche, approche,
La brume douce caresse mon jardin.
Où vas-tu, vagabonde?
Où vas-tu, ce matin?
Bientôt le soleil inonde
Ta blancheur de rayons gredins.
Tu t'étires, lascive,
Tu t'en vas, à pas de loup,
Tu hésites sur la rive
Du grand bois, profond et roux.
Je te vois qui t'effiloches
Dans l'air figé, dans l'air doux.
Tu tentes une dernière approche,
Tordant tes bras de grigou...
Je vois ton corps élastique
Qui respire dans le vallon;
Tu enfles, à un point critique,
Car tu meurs par dissipation.
Adieu donc, douce compagne,
Grand merci d'être venue!
Cache-toi dans la montagne
Où l'on ne te verra plus.
Mais tu t'envoles, légère,
Tu montes haut dans le ciel.
Tu t'échappes de la terre,
Petite cousine de l'arc-en-ciel.
Tu reviendras, j'espère,
Au matin, une prochaine fois.
Je t'attends sagement, ma chère,
Quand tu sortiras des bois.
MADAME LA CONNERIE
Refrain:
Madame la connerie
Mais pourquoi tu nous poursuis?
Madame la connerie
Pourquoi tu nous envahis?
Madame la connerie
Tu triomphes aujourd'hui
Madame la connerie
Je te hais, je te vomis.
1. J'en ai marre de tous ces cons
Qui veulent nous donner des leçons.
Sur n'importe quels sujets
Ils viennent nous bassiner.
Ces experts à la godille
Qu'on les mette à la Bastille,
Qu'enfin ils nous fichent la paix,
Moi je leur dis "Du balai!"
2. J'en ai marre de tous ces cons
Qui sans aucune restriction
Nous abreuvent de leurs conseils
A la mode "Madame Soleil",
Allez donc vois si j'y suis
Au Chili, en Mandchourie,
Arrêtez de nous emmerder
Fermez-là et circulez.
3. J'en ai marre de tous ces cons
Qui avec ostentation
Se croient très intelligents
Et vous fourguent leurs boniments.
Que ce soit en politique
En psycho ou en physique
En jouant les écolos
Les spécialistes en zéros...
4. J'en ai marre de tous ces cons
Qui, à la télévision,
Nous montrent toute leur bêtise,
Les champions de la balourdise.
Faut assainir l'atmosphère
Et installer des barrières,
Arrêter l'épidémie
De la grippe-connerie.
DANSEZ SUR MA MUSIQUE
1. Dansez sur ma musique,
Dansez sur ma chanson,
Un air hypertonique,
Une envie de saison.
Allez, osez, bougez,
C'est un moment d' plaisir,
Plus de soucis, tête vidée,
Continuez sans mollir...
Refrain:
Danse, danse, danse,
Sur cet air de samba
Danse, danse, danse,
Sois heureux et voilà! (bis)
Lé lé lé lé, lé lé lé lé, samba, samba,
Lé lé lé lé, lé lé lé lé, samba! (bis)
2. La samba, c'est la joie,
La samba, c'est la fête
Tout le corps en émoi
Des pieds jusqu'à la tête,
Le bassin qui ondule
Les bras bien écartés
Des effets de bascule
Sur un rythme endiablé.
3. Alors, qu'est-ce qu'il y a de mieux?
Carnaval de Rio!
Langoureux, amoureux,
Ça vaut bien le disco!
D' la sensualité
Et de l'exubérance
Voilà tout le secret
De ce qui semble une transe...
LE GROS FÛT
REFRAIN :
Elle a une jolie tête mais un gros fût
Quel dommage!
Quel dommage!
Elle a une jolie tête mais un gros fût
Quel dommage,
N'en parlons plus.
1. Elle était assise quand je l'ai rencontrée
Je la regardais:"Ah, mais quelle grande beauté..."
Hélas, peu d' temps après, elle a voulu s' lever,
Quelle fut ma déception d' voir sa rotondité!
2. Je m' suis mis à rêver de la voir transformée
Par quelque chirurgien, spécialiste du fessier,
Pour qu'elle revienne après, complètement allégée
De ses kilos en trop qui l'avaient déformée.
3. Mon Dieu qui es aux cieux, fais donc un p'tit miracle,
Pour qu'elle maigrisse un peu, qu'on la porte au Pinacle,
Que tout le monde l'admire sans aucune restriction,
Que je puisse, moi aussi, chanter sa perfection.
4. Et puis, après tout, elle peut rester comme ça,
Même imparfaite du bas, on s'en contentera,
On n' lui en voudra pas, mais on lui conseillera
De faire un p'tit régime pour perdre un peu de gras.
LE MORT-VIVANT
(A partir d'une histoire absolumernt authentique!)
o Par un bug informatique
On m'a déclaré mort!
Quelle situation critique!...
Pourtant je bouge encore.
Où donc aller, que puis-je faire?
Car je n'existe plus.
Vais-je devoir rentrer sous terre?
Vivre comme un reclus?
Refrain:
Je suis un mort-vivant
Ça n'arrive pas souvent
Vous l'avez lu dans les journaux
Ou entendu à la radio.
J'ai disparu d' tous les fichiers,
C'est le progrès qui m'a tué.
o Voyons le bon côté des choses
Plus d'soucis, plus d'impôt,
Plus de galère, plus de psychose,
Quelle liberté! Banco!
Je peux faire quoi bon me semble,
Fantôme insaisissable!
Plus rien ne fera que je tremble.
Je suis incontrôlable.
o Je vais, je viens, sans nulle contrainte
Aussi léger que l'air
D'été. Loin des cons, hors d'atteinte,
Profitons-en, pépère!
Mais j'ai bien peur qu'on me rattrape:
"Le bug est réparé
Vous pouvez faire des agapes
Vous êtes ressuscité!"
2ème refrain:
Oh vous qui m'entendez
Du mort-vivant ayez pitié.
Je disparais dans les journaux
On ne parle plus de moi à la radio.
On me réintègre dans les fichiers
Vive le progrès, vive le progrès!
o Triste fin pour cette aventure
Trop vite terminée
Je redeviens simple créature
Requiescant in pace
Refrain final:
Je suis un mort-vivant
Ça n'arrive pas souvent
Vous l'avez lu dans les journaux
Ou entendu à la radio.
J'ai disparu d' tous les fichiers,
C'est le progrès qui m'a tué.
LAMENTO DE LA MISERE
(Sur le problème des SDF, de plus en plus nombreux, hélas...)
Une drôle de voix monte dans l'obscurité
Une voix éraillée, une voix fatiguée,
C'est celle d'un clochard quelque peu éméché
Qui chantonne sa vie complètement gâchée.
J'avais un bon boulot dans une grosse société
Mais du jour au lend'main le patron m'a lourdé.
Puis quelques temps après, ma femme m'a quitté,
Et voilà qu' je me retrouve dans c' putain de coin paumé!
Refrain:
Quand on est dans la cloche, y a pas de quoi rigoler,
On se sent bien souvent un vrai pestiféré,
C'est la faim et le froid, pas d' fric, mauvaise santé,
Sans autre avenir qu' la mort, seul et désespéré...
Tous les jours j' crève la dalle, je picole sans arrêt;
Je me les gèle en hiver, j'ai trop chaud en été.
Je couche sous un carton au milieu de la fumée
Et du bruit des bagnoles. En plus, ça sent mauvais...
Mes vêtements sont sales, même un peu déchirés,
Mes copains en rigolent, et je m' sens insulté;
Parfois dans les poubelles, y a un truc distingué
Qu'on va s' cloquer sur le dos, comme un vrai friqué.
Chaque matin, je m'installe d'vant un supermarché
Ou devant une église, pour la mendicité:
Je présente aux passants une boîte et d' la monnaie
Et j'attends qu'ils me donnent au moins un petit billet.
Mes mains sont boursouflées et mes pieds sont gonflés,
Un mégot à la bouche, j'arrête pas de tousser.
Certains passent, pressés, sans jamais m' regarder,
D'autres me disent bonjour, d'un sourire familier.
Avec quelques copains, parfois on veut fêter
Un de nos anniversaires, si on a assez d' blé;
On achète des bouteilles, qu'on va vite siphonner,
On écoute de la musique, on s'essaye à chanter.
Je rêve qu'un prochain jour, peut-être je partirai
Loin de cette galère, dans un pays doré;
Je referai ma vie, j'aurai un bon métier,
Je s'rai enfin heureux, parce que je l'ai mérité.
UN CLOWN TRISTE
Refrain:
Triste...
Je suis un clown triste,
Je ris ou bien je pleure
En fonction d' mon humeur,
Ou encore selon l'heure,
Ou selon les moments
Les divers évènements
Que ma mémoire liste.
1. J'aimerais rire plus souvent
Mais le spectacle désolant
Des gens autour de moi,
Mais notre belle société
Où les privilégiés
Tous les contents de soi
Etalent leur richesse,
Leurs bijoux et leurs fesses,
Pendant que des milliers d'autres
Dans la misère se vautrent,
Me donne envie d' vomir!
Me donne envie d' vomir!
2. Notre planète agonise
Par l'humaine bêtise,
C'est une chose acquise
Pas besoin d'expertise.
L'avenir est en gris,
Vraiment un beau gâchis,
Bientôt plus de gazouillis,
Les imbéciles ravis
D' cette société pourrie.
J'ai grande envie d' vomir!
J'ai grande envie d' vomir!
3. Y aurait-il un petit espoir
De n' plus voir tout en noir?
Pouvons-nous encore rire?
Vais-je rêver du grand soir,
Le grand bonheur revoir
Quand finira mon ire?
Allons, il faut en rire
Avant que d'en pleurer
Avant que d'abdiquer...
Mais quelle envie d' vomir!
Mais quelle envie d' vomir!
4. De quoi demain sera -t-il fait?
Cela, Dieu seul le sait,
Et encore s'il existe;
Je me noie dans mes pensées
Dans ma perplexité
Je deviens fataliste.
Peut-être je-m'en-foutiste...
Jouons les inconscients
Mangeons, buvons, rions,
Vive la vie, compagnons!
Mais quelle envie d' vomir!
Mais quelle envie d' vomir!
LA VIE NOUS BLOUSE
Refrain:
La vie nous blouse, la vie nous blouse,
Fleur du bonheur n'a plus d' couleur,
La vie nous blouse, la vie nous blouse,
Trop d' déceptions et trop d' malheurs.
1. On est jeune et fort insouciant
On s'amuse bien entre copains
Hélas, ça n' dure pas très longtemps
Vient le moment des gros chagrins.
2. Un peu plus tard, faut s'établir,
Gagner sa croûte, faire une famille,
Les gros soucis tardent pas à venir,
Fini le temps de la gambille...
3. Quelques mois plus tard, y a les enfants
Qui vont à l'école sans que ça décolle!
Il faut s'en occuper, bon sang,
La prise de tête, parfois raz le bol.
4. Puis y a le boulot et ses tourments
Les supérieurs donnent la migraine
Ils vous traitent comme des délinquants
Ces salopards à la grosse bedaine.
REINE DE BEAUTE
Elle a un port de Reine
Des yeux brûlants et glacés
Quand elle marche, je la regarde
Fasciné.
Elle alimente mes rêves
Elle occupe mes pensées;
Nuit et jour, je ne vois qu'elle
Sans arrêt.
Il faut que Dieu préserve
Cette merveille, cette beauté,
Pour qu'elle illumine sans réserve
Mes journées.
Je la veux toujours présente,
Toujours là et toujours gaie,
Comme un soleil, rayonnante,
A mes côtés.
La vie est belle et légère
Quand on a la chance d'aimer
Et d'être aimé de cette manière
A jamais.
Avec elle, l'avenir s'éclaire
D'une lumière dorée;
Le bonheur est à son affaire
Très enjoué.
Que ma prière fasse
Que nous soyons préservés
Des jours funestes, sans grâce
Morosité.
La beauté vous enchante
La beauté vous ravit
Elle reste attirante
Pour la vie
Elle a un port de Reine
Des yeux brûlants et glacés
Quand elle marche, je la regarde
Fasciné, fasciné...
(Texte rédigé dans un bus, au cours de l'un de mes voyages dans un pays lointain: Le Mexique)
ALLER-RETOUR
J'ai entrepris un long voyage
De mon enfance à aujourd'hui,
Sans un adieu, sans un bagage,
Sans grand regret ni nostalgie.
J'ai revu mes appartenances,
Bilan de soixante ans de vie,
Et c'est de toutes mes partances
Celle qui, le plus, m'aura ravi.
Je suis de bois et de montagnes,
Je suis de champs chargés d'épis,
Je suis de prés, verte campagne,
Je suis de ruisseau endormi.
Je suis de quatre enfants à table;
Je suis de février sous zéro,
Je suis de neige inoubliable,
De Pater Noster, de Credo.
Je suis d'école et de lectures,
Je suis d'études longues et suivies,
Je suis de labeur à la dure,
Je suis de sueur qui vous cuit...
Je suis de vaches en gardiennage,
Je suis de foin qui engloutit,
Je suis moisson en attelage,
Et bois cassé, soupe qui cuit.
Je suis d'un temps rare où tout change;
Je suis de misère et de cris!
Je suis d'espérance qui venge,
Je suis d'engagement, de défi.
Je suis de guitare qui enchante,
Je suis musique et poésie;
Je suis de fraternité militante;
De théâtre et de comédie...
Comme des milliers de gens fragiles
Qui désespèrent des aujourd'huis,
Je suis le courage indocile;
Et je crois en vous, mes amis!
(Le 11 janvier 2005 - Une de mes premières chansons - Non enregistrée)
LE TRAIN DE L'AMOUR
1. Dans le train de l'amour
Ils étaient face à face,
Dans le train de l'amour
Qui filait dans l'espace...
Ils se tenaient la main,
Ils se mangeaient des yeux,
Etrangement sereins;
Il n' y avait plus qu'eux.
Refrain:
Le train de l'amour
Roule vers le bonheur.
Sans faire de détours
Il emmène les cœurs;
Roule encore et toujours
Pour bien respecter l'heure,
Roule encore et toujours
Pour arriver à l'heure
2. Dans le train de l'amour
(Il n')y a pas de contrôleur,
Dans le train de l'amour
Bien peu de voyageurs...
Mais les deux amoureux
N' en ont vrai rien à faire,
Plus personne autour d'eux
Ne saurait les distraire.
3. Dans le train de l'amour
On n'a plus faim ni soif
Dans le train de l'amour
Seule la passion décoiffe...
Et les deux amoureux
S'en vont vers leur destin
Vers leur coin de ciel bleu
Sûrs de leurs lendemains.
L'AVENTURE EN MER
1. Ils sont partis sur leurs voiliers
Fendant les vagues vers la haute mer
Pleins d'énergie et décidés
Pour l' tour du monde en solitaire.
Partis à l'assaut de l'inconnu
Vers les mers trop tempétueuses;
Nuits sans sommeil, du jamais vu,
Pendant des s'maines fort hasardeuses.
La peur, la fatigue et le froid
Com' compagnons, entre eau et ciel,
La solitude et les effrois
Dans l'immensité sans appel.
Refrain:
Vive les aventuriers
Des temps modernes!
Les beaux aventuriers
Qui oublient le terre ferme.
Derniers aventuriers
Jusqu'au bout de leurs rêves
Hardis aventuriers
Bien loin de la grève.
2. Ils jouent leur vie à pile ou face
Grisés de vitesse et d'embruns
Mais ils aiment ça, ça passe ou casse
Pas de doute, comme le commun.
Joyeux, triomphant des épreuves
Ils s'en reviennent, rayonnants,
Ch'veux en bataille, sourire aux lèvres,
Tellement émus, comme des enfants.
Ils songent déjà à repartir
Pour de nouvelles aventures
Qui leur permettront d'accomplir
Un nouveau bond dans le futur.
SUR LA LONGUE ROUTE DE LA VIE
Sur la longue route de la vie
J'avance d'un pas mal assuré.
Je marche depuis de longues années
Et plus je vais, plus je faiblis.
Sur la longue route de la vie
Un jour tout bleu, un jour tout gris,
Que reste-t-il quand tout finit?
Bien peu de choses avant l'oubli.
J'aurais voulu des chants, des fleurs,
J'aurais voulu être comme les autres.
J'aurais voulu moins de patenôtres,
De belles couleurs et du bonheur.
La vie ne fait pas de cadeaux
Il faut souvent serrer les dents
Quand la souffrance vous surprend
Et vous met en mille morceaux.
Que penser à l'heure du bilan?
De quel côté penche la balance?
Du bon, oui, quand même, je pense,
On pourrait en faire un beau roman.
PARLER POUR NE RIEN DIRE
1. Y a des tas de gens qui passent leur temps
A bavasser pour ne rien dire
La pluie, l' beau temps; ou même pire:
A répéter tous les cancans.
Et bla, bla, bla, et bla, bla, bla!
Et vas-y donc, ne t'arrête pas,
Et bla, bla,bla, et bla, bla bla
Remets-en une couche, ça ne suffit pas!
Et bla, bla,bla, et bla, bla bla (X4)
2. Comment vas-tu, mon grand Loulou?
Et c'est parti pour les malheurs:
J'ai eu un rhume, les yeux qui pleurent,
Ça (a) été comme un vrai coup de bambou...
Et je ne vous parle pas de ma petite chatte!
Elle ne veut plus manger de frichti.
Ah, elle m'en donne du souci!
Petit à petit, elle se déshydrate.
3. L' cousin Albert ne va pas bien
Il marche maintenant avec deux cannes,
Même son médecin qui le condamne
N' sait pas quoi faire pour le quotidien.
Moi j' deviens sourd de l'oreille gauche,
Bientôt je n'entendrai plus rien,
Manquerait plus que j' devienne daltonien:
Une vraie déglingue dans la caboche!
4. J'ai rien mangé au repas de midi
M' suis engueulé avec ma bonne femme,
J' vais peut-être devenir polygame
Ou bien partir à Tahiti.
T'as lu l'article dans le journal?
Paraît que Zarko va divorcer
Non mais dis donc, c'est insensé!
Pour un Président, c'est pas banal.
Précisions
Je constate avec effarement que certains auteurs compositeurs très en vogue (dont je ne citerai pas les noms) bâtissent leur célébrité sur ce que l'on nomme, dans le langage à la mode, "le trash": des histoires de drogue, de turpitudes sexuelles, de morts, de violences, de ruptures sentimentales brutales... Toutes choses qui font se pâmer les bobos parisiens! Sinistre époque. Ne cherchez pas cela dans mes chansons, vous seriez déçus. (Voir les premières lignes sur la page d'accueil de mon site).
Je signale à tous ceux que cela pourrait intéresser que je dispose actuellement de plus de 300 chansons sur le disque dur de mon ordinateur... Vous pouvez me contacter à ce sujet!
La suite dans la rubrique "Nouvelles chansons"
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